Un service communication qui embauche à tour de bras (ils sont passés de 2 à 7 employés !), d’autres services qui débauchent et certains contrats de personnels qui ne sont pas poursuivis.
Des commissions de travail à deux vitesses pour certains services et mais pas pour les autres.
Un restaurant scolaire (fabrication des repas) fermé sans aucune raison et personne ne sait qui en a donné l’ordre. Vous avez dit bizarre ?
D’après la Provence, la bibliothèque « désherbe »… Il paraît que cela signifie « trier et mettre au rebus, ou au pilon, les indésirables ». Tiens ? Une sélection ? C’est la décision immédiate de la toute nouvelle bibliothécaire qui a remplacé Elisabeth Filippi. BRAVO ! L’équipe de bénévoles qui a œuvré pendant des années auprès d’Elisabeth, depuis la création de la bibliothèque, doit être heureuse de voir avec quel mépris on considère leur travail ! Cela va-t-il durer longtemps ? Trois sont déjà parties… Après l’épisode OMCJ, cela commence à faire quelque peu désordre. « Ça craint un max ! » comme diraient certains (notamment du côté de la REVE).
L’information horizontale devient très très « sélective », au même niveau que la collecte des déchets.
Saviez-vous, au fait, qu’il y avait une commission DRH pour le personnel ? Mais oui ! Animée par… cherchez un peu… James Gourier ! (notre élu fantôme), suppléé par le Maire. Si ! Si ! Mais elle ne se réunit jamais, à part une fois en deux ans…
L’ironie peut aider à avaler le morceau mais pas à oublier que la situation est extrêmement grave. Il n’y a plus de pilote dans l’avion. Ou plutôt, sur les 15 majoritaires tous tassés dans le cockpit, il y en déjà 3 ou 4 à se disputer le manche à balai.

Le problème c’est que tout Venelles est embarqué dans l’avion…

Pierre Morbelli