LE SAVIEZ-VOUS ?

La commune possède deux cuisines centrales : une aux Cabassols et une autre à la Campanella, en rez-de-chaussée.
- celle des Cabassols alimente le restaurant scolaire des Cabassols, bien sûr, et aussi le restaurant de l’école Maurice Plantier.
- celle de la Campanella alimente le restaurant scolaire de l’école Marcel Pagnol ainsi que le restaurant 3ème âge de la Campanella.

C’est ainsi que nous avons toujours procédé avec l’ancien prestataire SOGERES, et c’est également ce qui est inscrit sur le cahier des charges signé par le nouveau prestataire, la Société AVENANCE.

Et malgré ce cahier des charges, dûment signé, la Société AVENANCE a décidé de fermer la fabrication des repas aux Cabassols sous plusieurs prétextes fallacieux, dont la vétusté des locaux et matériels (car ils ont plus de 10ans) !
Les vraies raisons ? Obtenir la compression du personnel et la réduction des frais de gestion sur un seul site, la Campanella et ce, au détriment de l’engagement écrit au cahier des charges et sans aucune autorisation écrite de la commune.

Et personne ne dit rien sur les audits diligentés par le service technique, l’adjoint aux travaux n’est pas au courant, quant à l’adjoint à la vie scolaire il n’a rien signé !
Bref c’est la fuite !

Il a fallu une commission spéciale travaux pour constater cette anomalie de gestion et pouvoir demander au prestataire pourquoi il en était ainsi. Réponse de la société AVENANCE « Il s’agit un accord tacite et verbal… »
Mais avec qui ? Personne ne répond !

A notre demande, un bureau d’études re-précise, pour la prochaine consultation, l’utilisation des deux cuisines centrales et le principe de liaison chaude - gage de qualité - négocié en son temps avec l’ensemble des utilisateurs et bien sûr les parents d’élèves.

En tout état de cause, l’économie réalisée annuellement par la Ste AVENANCE serait de l’ordre de 15 à 20.000 euros que la Mairie et les enfants paient indûment.
Pourquoi ? Et… pour qui ?

Nous sommes face à un détournement de finalité et un non-respect des obligations contractuelles tout au long de ces trois dernières années. Vous avez un exemple concret, parmi tant d’autres, de la gestion municipale actuelle !
De qui se moque-t-on ? Qui va rembourser ces trop-perçus ? Ces indus ?
Va-t-il encore falloir faire un procès ?

TROP C EST TROP !!!!

Pierre MORBELLI