• Notre régie doit avoir des statuts ; il n’y en a pas : « nous n’en avons pas besoin » a-t-il dit au conseil municipal ! 1ère faute.

  • Le président de la régie doit être élu ; ce n’est pas le cas, le maire a nommé M. Chardon. 2ème faute.

  • Il doit y avoir un conseil d’administration ou un conseil d’exploitation proposé au conseil municipal : ce n’est pas fait. Il y a un conseil d’orientation des usagers, cela n’a rien à voir avec les textes. 3ème faute.

  • Le directeur de la régie doit être proposé au conseil qui délibère ; jamais fait. 4ème faute.

  • Le directeur ne peut pas être issu de nos personnels municipaux car nous avons plus de 3 500 habitants dit le code ; eh bien M. Barriguian a été nommé par le maire. 5ème faute.

  • Le texte de loi de février 2001 oublié, on passe outre ! 6ème faute.

  • Les contrats avec diverses sociétés travaillant pour la REVE sont signés par le maire avant le retour de la délibération et l’accord de la sous-préfecture (l’arroseur arrosé). 7ème faute.

  • De plus, ces dits contrats furent prorogés à plusieurs reprises alors qu’ils étaient sans reconduction possible à termes fermes. 8ème faute.

  • Et j’en passe, en particulier faire payer le procès perdu par la ville contre la SAUR (plus de 1,6 millions d’euros) aux usagers : nouvelle faute, et en plus au détriment des travaux d’investissement et du fonctionnement.

Pierre Morbelli